FRANCE 24         22/01/2014 à 19h00

A Genève, ils ont campé sur leurs positions, irréconciliables. La délégation syrienne n’envisage pas une transition qui exclut Bachar Al-Assad. Quant à l’opposition, pas question d’envisager l’avenir avec le président actuel. Cette conférence était-elle vouée à l’échec? Si l’option militaire est exclue, quelle solution politique peut-on envisager? A défaut de parvenir à un accord sur la transition, des avancées peuvent-elles intervenir sur le terrain ?

Syrie – conférence Genève II : un dialogue de sourds ? (partie 1)

Syrie – conférence Genève II : un dialogue de sourds ? (partie 2)

 

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